cartophiles des centaines de ACP
CARTOPHILES
Vous pouvez retrouver les cartes postales que je vends à l'adresse suivante:
http://www.delcampe.net/boutiques/poivre401
A bientôt poivre31@hotmail.com
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Livre de 1901 édité par les magasins du BON MARCHE
Imprimé par paul BRODARD
J'ai découvert ce livre dans les archives de ma Grand Mère et..., j'avoue que ce livre de 1901 écrit par Catherine BONNECHERE (je pense que c'est un nom d'emprunt.), est une véritable encyclopédie culinaire et d'art de vivre de l'époque 1900 . J'avoue que sa lecture me passione. Je suis passionné de champignons et page 47 du livre, j'ai trouvé le texte suivant: "Il n'esxiste pas de caractère certain et facile à l'aide desquels tout le monde puisse distinguer les bonnes et les mauvaises espèces: ni le parfum, ni le goût, ni la couleur ne permettent de prononcer sur leur innocuité; on doit cependant tenir comme absolument vénéneux tout espèce dont la chair, quand on la coupe et exposé à l'air, change de couleur. Tout champignon qui secrète un suc laiteux qui colore en brun ou en noir une cuiller d'argent, doit être abandonné, ainsi que ceux dont l'odeur est désagréable ou trop pénétrante. Ajoutons que maintes fois, on a constaté l'empoisonnement malgré les preuves de cuiller d'argent; que malgré les précautions qui consiste à faire macérer préalablement dans l'eau vinaigrée les champignons douteux, on se peut empoisonner. En ce cas, il faut s'administrer au plus tôt un vomito-purgatif et appeler un médecin. Les champignons que l'on mange en si grande quantité pendant les mois de septembre et octobre, ne sont pas assez connus généralement, sauf certaines espèces connues dans chaque dans chaque contrée de france. Apportez donc une extrème précaution dans l'usage de ce délicieux et savoureux comestible et n'accomodez dans les cuisines des villes que des champignons de couche." J'avoue que le texte me laisse perplexe, car si à cette époque, à part les champignons de couche, on suivait les testes de reconnaissances, il ya eu certainement de nombreux empoisonnement!!!!!!!!!!!. L'INRA à écrit au sujet des recommandation de l'époque et de certains dire actuels:
Note préliminaire : Attention à ne pas accorder de crédit aux précisions culinaires relatives aux champignons! |
C'est la période pour faire du vinaigre de surard.
Je l'ai essayé l'année dernière et j'ai bien regretté d'en avoir fait si peu!!!!!!!!!!!
Si vous habitez, ou en vacances, à la campagne, vous devez certainement avoir un sureau, chez vous ou que vous avez découvert lors de vos promenades.
Si ce dernier posséde des fleurs blanches bien épanouies, mais pas trop vieille, vous en remplissez un bocal en verre sans le tasser, vous laisserez une marge et vous remplissez le bocal de vinaigre de cidre.
Vous laissez masserer en exposant votre bocal au soleil pendant une dizaine de jours.
Ce délai terminé, vous filtrez le vinaigre à travers un linge fin.
Vous verserez le liquide dans des bouteilles de verre que vous conserverez au frais et à l'ombre.
Le vinaigre surard s'utilise comme tout autre vinaigre, mais en apportant un sublime.
Médicalement, vous pouvez vous en servir contre les refroidissements et les problèmes pulmonaires
cuillère à soupe dans un verre d'eau chaude avec du miel.
( recette trouvée dans les légumes oubliés de François COUPLAN.)
NOS PREMIERS AVIONS PARTICIPANT à une GUERRE étaient généralement équipé de ces CARBURATEURS !!!!!
Berceau de l'automobile dès la fin du XIXème siècle, c'est très logiquement que Lyon fût également cité d'innovations techniques, particulièrement en matière de carburation. Ainsi, entre 1895 et 1910, de nombreux inventeurs ou constructeurs automobiles, soucieux d'optimiser les performances des moteurs à explosion, mettent au point leurs propres modèles de carburateurs.
Des entrepreneurs tels que Luc Court, Eldin, Larcharnay ou même Marius Berliet en 1904, déposent de nombreux brevets de carburateurs tous plus ou moins identiques en termes de performances. Cependant un modèle particulièrement performant, va réellement éclipser tous les autres : le carburateur Zénith, inventé en 1905 par François Baverey, fils d'un industriel du textile installé à Irigny. Ayant repris la direction de l'usine familiale, c'est par hasard que ce brillant ingénieur orienta sa carrière vers l'industrie automobile.
En effet, en 1903, il acquiert une voiture automobile Lorraine Dietrich et constate rapidement, en la conduisant, que le carburateur dont elle est équipée présente de graves défauts. Suivant les allures, le mélange d'air et d'essence est trop riche ou trop pauvre, nuisant ainsi aux performances du moteur lors de l'explosion. Il décide donc de s'intéresser à ce problème et dessine un carburateur complexe doté de deux gicleurs dont l'un appelé compensateur, maintient la constance du mélange quel que soit le régime du moteur.
Il fait exécuter un prototype dans l'atelier de mécanique de l'usine familiale et le monte sur son automobile. Les résultats obtenus sont si sensationnels, qu'il décide dès 1906, de breveter et de commercialiser son invention sous le nom de "Carburateur Zénith", choisissant cette appellation dans l'astronomie dont il est passionné.
En 1907, naît donc à Lyon la société du carburateur Zénith à qui les automobiles Rochet-Schneider et Cottin-Desgouttes seront les premières à donner leur confiance en décidant d'en équiper tous leurs modèles. Par la suite, M. Rochet, propriétaire de la marque du même nom, demandera à François Baverey de diriger sa firme, ce qu'il fera durant 35 ans, assurant ainsi la fabrication d'automobiles de grand luxe.
Mais l'ascension de la marque Zénith, si elle tient au génie de son inventeur, tient aussi à son sens aigu des affaires. A partir de 1908, la firme lyonnaise mène une politique commerciale et publicitaire très agressive. Elle propose ses modèles aux différents constructeurs français et étrangers, aux petits artisans mais également aux particuliers désireux d'améliorer les performances de leurs véhicules.
Le succès est tel qu'avant la première guerre mondiale, la société a construit des usines en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis et en Italie. La réussite de Zénith se poursuit après guerre puisqu'en 1928, la seule usine de Lyon produit 110 000 carburateurs par mois et l'usine de Detroit (USA) à peu près autant. A la même époque, un géant de l'industrie automobile, la société Ford, décide d'adopter le carburateur lyonnais et d'en équiper l'ensemble de sa gamme. Jusqu'au début des années 40, la technique mise en œuvre par Zénith a permis d'équiper des voitures de prestige telles que les Bugatti, Delage, Delahaye, Talbot ou Hotchkiss mais également des constructeurs d'automobiles plus " populaires " comme Renault, Peugeot, Citroën ou Simca.
Pendant la seconde guerre mondiale, la pénurie de carburant oblige la société à se tourner vers une autre forme d'énergie : le gaz. Zénith réalise des installations complètes et met au point des carburateurs spéciaux mixtes essence et gaz ainsi que les détendeurs nécessaires au fonctionnement de l'ensemble.
En 1946, les activités normales reprennent mais seul quatre grands constructeurs français ont survécu. La guerre l'ayant fait progresser considérablement en matière de motorisation et de carburant, Zénith intensifie ses recherches afin de toujours optimiser ses carburateurs. Par ailleurs l'expérience acquise dans le domaine de la circulation des fluides conduit la société à se tourner vers des applications aéronautiques.
En 1963, Zénith cède son usine de Lyon à la société Berliet et installe son siège social et ses activités automobiles près de Troyes, dans les locaux de la Société Troyenne des Applications Mécaniques (S.T.A.M), sa filiale. En 1971, la société construit une nouvelle usine près de Saint-Etienne et y installe ses activités liées à l'aéronautique.
De nos jours, restent de cette exceptionnelle réussite, trois marques, commercialisant toujours des carburateurs et systèmes d'injection pour automobiles et avions : Zénith-Bendix ; Solex-Zénith (GB) et Zénith-Stromberg (USA).
http://www.retro-actifs.com/articles/06.01_Zenith.htm
http://aeroscripophile.hydroretro.net/titre.php?code=zenith
GYRALDOSE
Publicité que j'ai trouvé au dos de la revue L'ILLUSTRATION du 21 octobre 1913
CULTURE sur PAPIER BUVARD
Mode d'emploi:
-Une assiette creuse; la remplir soit avec:
- papier buvard blanc
- coton
- sable de rivière ou terreau fin
Humidifiez bien et semez les graines
Arrosez tous les jours avec une eau non calcaire (vaporisation conseillée, pour éviter de noyer les graines.)
3 à 4 jours les semences seront levées
1 semaine aprés, vous pourrez commencer à couper les jeunes pousses
Bien entendu garder à température ambiante de la maison.
Vous pourrez ainsi cultiver:
-CRESSON ALENOIS:
trés riche en fer et vitamines B et C.
Le mélanger aux salades, il remplacera les fines herbes
Il accomodera vos sandwiches, oeuf durs
-LA MOUTARDE
Les jeunes feuilles, ne vous monteront pas au nez, mélangées aux salades
elles vous apporteront un complément de vitamine C
-LA ROQUETTE
Elle germera en 5 jours et vous trouverez les pousses, bien plus tendre
-LE POURPIER
Lui aussi en 5 jours la germination se fera
-LE FENOUIL
Il sera plus lent à germer ( 10 jours environ.)
VOS ENFANTS SE FERONT UN PLAISIR DE S'OCCUPER DE CES SEMIS
Bonne vitaminade
MON GRENIER,
J'ai accumulé des objets de mes parents , enfants , des miens dont je ne me sert plus, je fouine dans les vides greniers, j'achéte, je revends, je modifie, je renouvelle mon environnement, j'ai peut être l'objet qui vous interesse et vous également, alors on échange , on troc, on achéte, on recherche et si on montait notre réseau!!!!!!!!.
Je suis dans les Landes, près du Pays Basque, de l'Espagne, posséde une maison de caractère des annèes 1880, qui auparavant était sur le passage des pélerins de Compostelle.
Comme on dit, voilà pour la "mise en bouche"
Si, l'idée vous interesse, contactez: poivre31@hotmail.com